Y a des jours où tout va bien... on se lève avec le sourire, on sort de chez soi, heureux de pouvoir apprécier encore une fois ces petits moments agréables de la vie. Pas besoin de grands palaces, ni d'un millions d'euros pour être heureux de revoir ce magnifique ciel bleu.
Juste besoin de grands espaces et de solitude pour réévaluer ce que nous sommes.
Et pourtant, reste ce regret d'être encore entourée de ce béton qui nous enferme dans un monde superficiel. Nous renvoit à cette terrible envie d'aller se perdre dans la nature, profiter de ce que ce monde a de plus beau à nous offrir... S'éloigner un peu des transports parisiens où tous ces gens ont oubliés les sourires et que respirer était en soi un plaisir... Obligés d'apprécier notre petit bout de vie malgré notre panorama sur la misère d'autrui. Acceptation des différences même s'il n'y a aucun sens. Et puis nous voilà témoins des aggressions et de ces malversations, et voilà que nous réalisons la chance que nous avons, et nous nous demandons combien de temps nous continuerons. Le respect étant en voie de disparition, on essaye au moins d'en garder des miettes afin de garder espoir en notre planète. Puisque le temps nous est compté, faisons en sorte de nous aimer.
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