mardi 26 janvier 2010

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C'est étrange cette sensation que l'on peut découvrir lorsque l'on s'éloigne un peu de la civilisation et que l'on se retrouve seul en pleine nature. Comme une impression de renaissance et d'impuissance, comme si enfin on retrouvait notre place, un retour à nos racines. Les retrouvailles avec notre fierté d"avoir la chance de pouvoir voir ces magnifiques et époustouflants cadeaux de notre chère Terre mère.

C'est sûrement cette sensation unique qui manque le plus quand on regarde un reportage magnifique à la télé...
Rien ne peut égaler cette pure sensation dans notre vie, l'amour de ce que cette planète nous offre chaque jour.
En ville, un sentiment de révolte inutile, l'obligation de rester docile et de répondre à des valeurs qui ne sont pas les nôtres.

L'Homme s'est enfermé dans une bulle superficielle qui lui permet de se donner le droit de détruire ce qui lui permet d'exister. L'Homme et son autodestruction perpétuelle... Il a acquis une conscience, qu'il définit de "supérieure", lui permettant ainsi de ne pas disparaître seul.

Dans la vie c'est toujours les plus forts qui bouffent les plus faibles. Ainsi l'humanité est devenue le dernier maillon de la chaine. Elle n'est pas la première à disparaître lors de son auto-destruction mais elle sera sûrement la dernière, car elle prendra bien soin de tout emporter.

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